Crise au Méliès de Montreuil 22 : abus dangereux pour la santé

Quand je dis que les attaques de Stéphane Goudet ont été tout terrain je pèse mes mots. Difficile à Montreuil d'échapper au mélange des genres, et surtout que tout soit ramené au politique. J'en fais les frais en 2013 dans mon travail associatif dans une association de malades, qui a une relation ponctuelle avec le cinéma Méliès. Le conflit délétère nuit alors tellement à la continuité du service public que cette action est remise en cause, la militante Vie Libre chargée de l'action Méliès, également membre de Renc'art, jugeant la possibilité d'une soirée Méliès impossible du fait du licenciement de Stéphane Goudet. Je prouverai le contraire en rencontrant avec le président de Vie Libre la responsable de la programmation, qui fera preuve d'écoute et de professionnalisme et permettra l'organisation de cette soirée dans les meilleures conditions. C'était sans compter sur Stéphane Goudet. Il affirmera que ma présence et mon implication dans cette soirée est le signe d'une reprise en main politique de la programmation du Méliès. Il annoncera sa décision de venir à la soirée consacrée à l'alcoolisme faire étalage du conflit syndical qui m'oppose à lui. La politisation socialiste de membres de Vie Libre et l'entremise douteuse de certains élus d'opposition éviteront parait-il cette récupération honteuse. Les allusions et les attaques en lien avec mon alcoolisme seront régulières durant la campagne municipale dans laquelle je m'engagerai non pas en faveur des écolos, mais en opposition aux socialistes, communistes, brardistes, trotskos et même droitards qui auront TOUS pris le parti de Stéphane Goudet, malgré leur connaissance que le personnage est capable de tels actes. Près de sept ans plus tard rien n'est réparé du préjudice que j'ai subi à ce moment. Quoique. Est-ce que je ne suis pas en train de régler les comptes?