27 Septembre 2018
La réquisition des locaux inoccupés de l'AFPA est un évenement politique assez majeur pour que je mette de côté un article plus teigneux et clivant que j'avais en cours. Patrice Bessac, car c'en était la cible principale, ne perd rien pour attendre, le billet sera d'autant plus documenté. En attendant je soutiens à fond l'action municipale en cours. Bien sûr, la réquisition pour le foyer Bara concerne les solidarités, les migrations, mais nous avons là aussi, comme sur certains aspects du dossier de l'Usine Polluante SNEM, un enjeu de démocratie sur les territoires populaires. La préfecture, l'Etat et ses commis locaux enjambant les alternances politiques, s'opposent et entrent en confrontation de droit et de force avec les représentants élus. Beaucoup prêtent à Patrice Bessac et son alliance Rouge-rose-verte des arrière-pensées électoralistes sur cette réquisition médiatique. C'est entendu. Mais que cela n'occulte pas tout le reste des enjeux. et ce rapport entre le pouvoir élu local et un "Etat profond" qui s'y oppose sur les territoires pourrait être un des débats des élections de 2020. Ci-dessous le lien vers une série de twitts, un thread, comme on dit, qui sera alimenté régulièrement sur l'histoire de cette réquisition de l'ex AFPA. Vous pouvez y accéder sans vous inscrire sur twitter.
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Je conclue par ce message de notre ami Claude Reznik, Adjoint aux Solidarités et aux populations Migrantes durant le mandat de Dominique Voynet et le début de celui de Patrice Bessac, sans qui je doute que cette réquisition serait survenue. On souhaite que les valeurs et les convictions, l'ESPRIT, qui l'ont conduit à cette idée reste un cap