Crise au Méliès de Montreuil 24 : fuck les critiques

Mes responsabilités syndicales, associatives, politiques, ne sont pas un choix de ma part. Mon tempérament, certains de mes traits et "qualités", mes centres d'intérêt, limitent clairement mon efficacité de représentant du personnel ou d'agent électoral. Eh oui, je suis plutôt un artiste dans l'âme. Tel l'Albatros de Baudelaire, mes ailes de géant, et tout ça. Stéphane Goudet a bien compris qu'il pourrait exploiter mes maladresses dans le milieu de la militance politique, où il se trouve comme un gros poisson dans l'eau, ou plutôt un Maître de vaisseau sur un navire en eau troubles. Dans les constantes attaques ad hominem qu'il balance sur chacun de ses adversaires, celles me ciblant me réduisent généralement à un militant écolo, simple assistant de bibliothèque qui jalouserait son immense réussite socioéconomicoculturelle. En attendant, jour après jour, tel le prince des nuées, je le survole, mon envergure de dix pieds projette une ombre colossale sur son esquif grinçant. Et comme dirait le poète, je lui chie dessus