26 Février 2016
Alors que le sort de Stéphane Goudet comme employé de Montreuil est suspendu à des recours et actions en justice, le journal municipal multiplie les présences appuyées de ses soutiens, élèves, obligés. A croire que la ville, son journal, et surtout son équipement le plus couteux, le Mélies, leur appartient
J'ai un boulot et pas mal d'activités, alors vraisemblablement ce que je relève est la face émergée de l'Iceberg. A mon avis Le copinage à Montreuil, et singulièrement au Méliès, est à un niveau problématique en terme de démocratie. Le billet sera court. je relève juste qu'après une cent millième spectatrice à l'honneur qui était élève de Stéphane Goudet, la montreuilloise qui dans le dernier numéro de Montreuil Pravda, page 19 nous parle de SON Montreuil à ELLE... est Sophie Mandonnet, une monteuse qui a travaillé pour Stéphane Goudet! Elle a monté "les leçons du professeur Goudet"... puis s'affiche dans le cinéma qu'il dirige, insistant sur le fait qu'elle "n'a pas supporté qu'on touche un cheveu de son cinéma, dont la pérennité a un temps été menacée"... la pérennité et les cheveux du Méliès ou le statut de son directeur?
"Dentellière de l'image", "élégante", d'accord... indépendante il ne faut pas pousser. Quand on monte "les leçons du professeur Goudet" poser au Méliès, en insistant lourdement ("je voudrais avoir le temps de bien parler du Méliès), ce n'est pas vraiment de l'indépendance. C'est du copinage éhonté et c'est semble-t-il dans chaque numéro du "Montreuillois" que les amis de Goudet ont leur rond de serviette. En l'occurence la roue de montage de la table ancienne exposée dans NOTRE cinéma, traité de plus en plus comme la possession d'un clan de complices.